Nous n'irons pas à Wuhan

  Ayant cessé toute activité pour la DST, Wamberg découvre par hasard qu’une espionne russe, Elena, s’intéresse de très près au personnel employé par un laboratoire de l’armée française. Semblable à celui de Wuhan, cet institut où sont manipulés des bactéries et des virus très pathogènes aurait-il des applications militaires ? 

Alors qu'il participe par ailleurs à la construction d’un ordinateur quantique doté d’une intelligence artificielle illimitée, Wamberg hésite à pourchasser Elena. Les voyages et les déplacements se succèdent : du marché Notre-Dame de Versailles aux quartiers les plus sombres de Hong Kong, des blockhaus construits par les allemands à Saint-Germain-en-Laye aux fermes de scorpions noirs de Kuala Lumpur.

Traqué par Daesh qui contrôle la fourniture d’une partie des composants de l’ordinateur, menacé par les services secrets russes qui le trouve vraiment trop curieux, Wamberg ne se décide toujours pas à demander de l’aide à ses anciens employeurs... et les Français n'ont plus accès au site de Wuhan

Dans la presse

Valeurs actuelles – Le club -08/05/2020

Suspectés par les renseignements américains et verrouillés par Pékin, les labos de Wuhan suscitent les rumeurs les plus folles. 

L'intrigue est digne d'un James Bond. Sauf qu'à la fin, l'espion échoue dans sa mission, la dictature communiste contamine le monde entier et sa bombe virale tue des innocents par centaines de milliers. 

La propre directrice adjointe du centre de biosûreté BSL-4 de l'Institut de virologie, dédié à l'étude des “pathogènes de classe 4” (les plus mortels, comme Ebola) s'est posé la question dès le début de l'épidémie. « Et si le virus venait de nos labos ? », s'inquiétait Shi Zhengli, spécialiste mondiale des coronavirus.

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